Comment voler un million de dollars Neuilly ?

C’est une villa privée à Neuilly-sur-Seine qui sert de décor, utilisé à plusieurs reprises dans le film. Le décorateur en chef Alexandre Trauner aurait jeté son dévolu sur le bâtiment sans savoir qu’il avait été conçu par Charles Garnier.

Comment voler un million de dollars musée ?

Charles Bonnet possède une impressionnante collection d’art, dont il vend parfois quelques pièces à d’autres amateurs d’art. Le seul problème est que les œuvres sont en fait des imitations ingénieuses. Par défi et fierté, il accepte de prêter une somptueuse statuette à un musée : la Vénus de Cellini.

Comment voler un million de dollars à quel musée ? C’est la façade du musée Carnavalet, rue des Francs-Bourgeois, qui sera utilisée pour les extérieurs de ce musée fictif appelé Kléber-Lafayette.

Comment voler une voiture à un million de dollars à Audrey Hepburn ? Le film est coquette, les voitures sont luxueuses, les villas sont magnifiques, les vêtements d’Audrey Hepburn et les costumes de Peter O’Toole sont adorables. Le film est un vrai régal pour les yeux. Audrey Hepburn et son style vont très loin dans le film. Il incarne le film pour lui apporter une dimension unique.

Comment voler un million de dollars anecdotes ?

Haute couture. Les tenues d’Audrey Hepburn sont dessinées par Hubert de Givenchy, fidèle collaborateur de l’actrice qui l’a habillée pour tous ses films contemporains de Sabrina : « Elle a un visage parfait et une silhouette idéale, avec un corps mince et élancé et son col de cygne.

Comment voler un million de dollars à Arte ? En France, ce film de démolition a été un immense succès, mobilisant près de 850 000 téléspectateurs en l’an 1966. Comment voler un million de dollars sera découvert ce lundi 29 mars 2021 à partir de 20h55 sur Arte, peu avant la comédie de Blake. Edwards, Le retour de la panthère rose, à 22h55

Comment voler 1 million de dollars lieu de tournage ?

Rossell dévoile ainsi les structures en bois de la décoration dessinée par Alexandre Trauner. Après le Paris d’Irma la Douce (Billy Wilder, 1963) de Samuel Goldwyn, le décorateur reconstitue dans les ateliers de Boulogne-Billancourt, l’intérieur du musée Jacquemart-André achevé en 1876 sur le boulevard Haussmann.